Après 19 journées, Morsang-Fleury est d’ores et déjà condamné dans la poule 4 et il faudrait des miracles pour que Châtenay-Malabry n’en fasse pas autant dans la poule 3.
Morsang-Fleury a appris
Le plus petit budget de nationale 2 a fait ce qu’il a pu dans cette division. Avec une seule victoire au compteur – contre le voisin Savigny – en 19 journées, la formation essonnienne a manqué d’expérience, de leadership pour espérer s’en sortir : « C’est une saison qui restera intéressante, car pour l’ensemble des joueurs la N2 était une découverte. C’est d’ailleurs le manque d’expérience qui nous a fait défaut, mais aussi le manque de la culture handball. Néanmoins, cela restera une formidable expérience » soulignait l’entraîneur Thomas Lefèvre néanmoins déçu du bilan comptable de ses troupes.
Châtenay-Malabry est à sa place
Souvent au coude à coude mais jamais gagnant – seulement deux fois – Châtenay-Malabry dernier avec cinq longueurs de retard sur le premier non-relégable est encore en sursis, mais sa descente à l’échelon inférieur est logique. L’entraîneur francilien Benjamin Gezer en explique les principales raisons : « C’est une équipe très jeune avec un gros potentiel, mais manquant d’expérience. Il nous a manqué un joueur très expérimenté, sur la base arrière. On est aujourd’hui à notre place, l’objectif est de repartir en N3 sur des bases saines ».
Par ailleurs, Chaville (poule 3), St-Michel et Franconville (poule 4) sont également menacés de relégation.