La saison de la National 1 reprend ses droits le week-end du 19-20 septembre avec 11 clubs franciliens sur la ligne de départ. Revue d’effectif.
Poule Elite :
Deux clubs franciliens vont pouvoir se mesurer à ce qui se fait de mieux à ce niveau : l’Elie Val d’Oise et la réserve du PSG. Le premier nommé, qui n’aura pas de statut VAP cette saison, est attendu au regard de son recrutement (Bourgrainville, Belkacem, Nkouingoua, Belliman) et de ses ambitions de retrouver la Proligue d’ici 3-4 ans. Pour la réserve du PSG, c’est une toute autre trajectoire puisque la formation de Thierry Perreux, qui a gagné le droit de jouer en Elite grâce à sa 1ère place de la poule 2 la saison dernière, devra faire face à un renouvellement de l’effectif. L’objectif est de faire progresser ces jeunes afin qu’ils postulent à l’équipe première.
Poule 2 :
L’ACBB, déçu des atermoiements de la FFHB, tantôt en poule 2, tantôt en poule Elite, doit se résoudre à ne pas jouer dans la poule la plus exigeante de N1. Avec des jeunes joueurs rompus à la division, le club boulonnais s’attend à jouer les premiers rôles, aux côtés de Lanester et de la réserve de Nantes notamment. Une poule qui accueille quatre promus : Poitiers, Pouzauges, Bordeaux Bastide et Billère. Dans ce contexte, Savigny part peut-être avec une longueur d’avance en perspective du maintien.
Poule 3 :
Dans cette poule très ouverte, les clubs franciliens peuvent espérer de belles choses. A commencer par Torcy, Réveil de Nogent et Livry-Gargan qui devraient avoir les moyens de jouer la première partie de tableau. Surtout qu’aucun club ne sort véritablement du lot, entre les promus St-Cyr, Granville ou encore Gien repêché à la dernière minute. Les réserves d’Ivry et de Créteil pourront ainsi progresser. Tandis que pour St-Ouen-l’Aumône, qui fait son retour à ce niveau, l’occasion semble belle de consolider sa place à ce niveau.
Poule 4 :
Versée dans cette poule de l’Est avec de longs déplacements à prévoir, la réserve de Tremblay s’attend à souffrir. Mais la troupe de Stéphane Imbratta, pétrie de talents de jeunes joueurs, a les arguments pour éviter les deux dernières places synonymes de relégation.