Les clubs franciliens ont connu des fortunes diverses.
Poule 3 :
Au repos forcé la semaine passée après le report de son match contre la réserve de St-Grégoire/Rennes, St-Michel a lancé idéalement sa saison en faisant preuve de beaucoup de solidarité samedi sur le parquet de la réserve de Fleury Loiret (18-20) : « C’est le meilleur match défensif depuis que je suis arrivé, je très content car au vu du contexte et de notre préparation avec beaucoup de défaites, gagner à Fleury va faire du bien au moral », relevait à juste titre le coach Alexandre Taillefer.
Poule 4 :
Après la douche froide contre Rouen, Alfortville s’est rebellé en dominant la réserve de Brest ce samedi (26-22). Ce sera dur cette saison pour le promu Palaiseau, largement défait chez un autre promu : la réserve du HAC (33-22). La coach Kheira Lakhdar exprimait des regrets sur le communiqué du club : « Notre prestation a été décevante, surtout sur le plan défensif où nous avons mis du temps à retrouver nos repères. Offensivement, il est difficile de gagner un match avec 31 tirs ratés dont trois 7 mètres. Nous avions plusieurs absentes, mais ce n’est pas une excuse, le groupe était de qualité.Nous avons encore du travail et il faudra réagir contre Colombelles.»
Poule 5 :
Trois défaites pour les trois clubs franciliens. Il y avait beaucoup de regrets du côté de la réserve de la Stella St-Maur, battu d’un cheveu par Reims, plus expérimenté : « C’est un match à l’opposé de la semaine dernière avec une défense retrouvée et trop de mauvais choix aux tirs », ajoutait Alexandre Dumay. Alors que Conflans a pris l’eau défensivement contre Harnes (36-30), le Serris Val d’Europe a fait front contre le favori Lomme Lille avant d’échouer sur quelques détails : « Le report du match a été refusé, nous avons pas attaqué la rencontre dans les meilleurs dispositions, avec un seul entraînement au programme cette semaine. Il y a eu une belle débauche d’énergie mais on le paye sur la fin. C’est une défaite rageante mais ô combien encourageante », ruminait le coach des Tigresses Samir Messaoudi.