Tout juste promu en Fédérale 2, Domont a décroché le maintien de belle manière. Même dans les moments difficiles, le groupe est resté soudé.
Pas facile de reprendre la saison en septembre à l’échelon supérieur alors qu’on se remet à peine d’un marathon conclut en juin. Promu en Fédérale 2, Domont (7e de la Poule 1) a logiquement souffert mais n’a jamais renoncé. Au final, le club du Val-d’Oise est récompensé : il est allé chercher son maintien lors de l’ultime journée : « On est vraiment satisfait. C’est une saison réussie qui confirme la très bonne précédente », se félicite l’entraineur Stéphane Lastapis. On est resté uni et ça a fait la différence dans les moments difficiles ».
Stabilité
Ainsi, l’entraineur avoue ne pas avoir eu peur. Même quand sa formation était dans la zone rouge : « L’été dernier, on a pris le pari de ne pas trop recruter ailleurs et de s’appuyer sur le même groupe issu à 80 % du club. On se reconstruit doucement ». Même topo l’année prochaine. Le groupe s’appuiera principalement sur la formation pour se renforcer : « On a une bonne catégorie de juniors qui va nous rejoindre. Sur le marché, on ira simplement chercher un joueur devant et un autre derrière », confirme le coach. Seul changement à noter. Le départ (à sa demande) de l’entraineur adjoint José Palomarès. Ce dernier sera remplacé par un autre homme de la maison : le néo-retraité Zurab Mtchedlishivili, figure de proue du club francilien.