Face au champion d’Europe et du Monde en titre, Paris Volley n’avait pas les armes pour contrecarrer la machine russe de Belgorod (3-0).
C’était attendu, malgré leur volonté, le club parisien n’avait pas les armes pour soutenir la comparaison face à l’armada russe. Et pourtant, dans le sillage du Gjorgiev – Fernandez, les locaux faisaient mieux que se défendre après une entame délicate (7-12 ; 16-15). Pourtant en bonne situation, Paris perdait de sa superbe face à Belgorod qui enchaînait un 9-2 dans la foulée (18-25). Faisant jeu égal en début de seconde manche (8-8), Paris perdait tout espoir d’accrocher son adversaire en encaissant un rédhibitoire 7-0 (8-15).
Les Parisiens auront tenté
Avec deux services gagnants consécutifs et des blocs récurrents, Muserskiy déroutait la réception adverse (10-19). Si bien que Bojic pas dans un grand jour laissait sa place à Frangolacci et que Brizart faisait également sa rentrée, sans pour autant briser l’élan des Russes (14-25). Ces derniers continuaient de mener à la baguette cette rencontre (7-10), mais les Parisiens ne l’entendaient pas ce cette oreille et reprenaient des couleurs par le précieux Gjorgiev (16-14; 20-19). Mais il fallait plus pour décontenancer Grozer et consorts qui malgré la résistance des locaux (22-22) remportaient la mise finale (22-25) et bouclaient en 1h20 minutes de jeu ce duel de Ligue des Champions devant un millier de personnes.