Après quatre saisons à la tête du Plessis-Robinson, Jonathan Santer laisse sa place à Cédric Logeais. L’occasion de dresser un bilan avec le principal intéressé.
Dans quel état d’esprit êtes-vous après avoir dirigé il y a dix jours votre dernier match pour le Plessis-Robinson ?
Un sentiment à la fois de satisfaction mais aussi de frustration, car nous avons échoué tout près du but. On pouvait pousser Lyon au 5ème set lors du match d’appui, ce n’est pas passé loin. Malgré tout, notre parcours reste comme le plus beau de l’histoire du club.
Une accession de N1 à la Ligue BM et une qualification historique pour les play-offs, vos quatre saisons à la tête du PRVB ont été très positifs ?
J’aime pas forcément mettre une personne en valeur, mais il est sur qu’en quatre saisons, le club a très bien grandi et s’est aussi considérablement structuré. Je suis content du chemin parcouru, une accession puis deux saisons à se battre pour se maintenir et enfin une ultime saison où l’on joue les premiers rôles, c’est une belle progression. J’espère que le club va continuer à avancer pas à pas.
Une progression qui ne vous a pas donné envier de continuer?
Non, car depuis longtemps avec mon épouse, nous avions décidé de quitter la région. Une occasion s’est présentée et nous en avons profité. Je garderais de très bons souvenirs du Plessis-Robinson.