Défait dans les grandes largeurs lors de la première journée du championnat, Plaisir et Antony n’ont pas le maintien comme obsession mais plutôt la soif d’apprendre à ce niveau.
Avec seulement 4 joueurs des phases finales de la saison dernière et beaucoup de juniors, Antony ne pouvait soutenir la comparaison face à l’ofre dijonnais (0-99). Avec un déplacement cornélien à Strasbourg – autre favori de la poule 1 – Antony ne s’attend pas à des miracles dimanche : « Nous avons plus les structures d’une équipe de Promotion d’Honneur que de Fédérale 2. Néanmoins, nous allons nous serrer les coudes pour permettre à nos jeunes joueurs d’apprendre beaucoup sur cette division, ce sera très formateur » soulignait le manager général Damien Michel.
Vidalis (Plaisir) : « Nous sommes contents »
Son de cloche identique du côté de Plaisir, qui bien que battu par Niort dans la poule 2 (57-0) n’a pourtant pas démérité, loin de là : » Nous sommes plutôt satisfaits du contenu. Nous sommes sur une logique d’apprentissage, le groupe a montré qu’il avait du répondant face à une énorme machine avec une vingtaine de professionnels » confirme l’entraîneur Pierre Vidalis. Avec un nouveau déplacement en perspective ce dimanche contre Nantes, Plaisir a déjà la tête lors de la 4ème journée, où son championnat contre ses concurrents directs tels que Vierzon et Domont prendra véritablement effet.