La nouvelle saison de Starligue débute ce mercredi 5 septembre avec pas moins de quatre clubs franciliens. Passage en revue des forces en présence.
Le PSG en favori
Pour conserver son titre, le Paris Saint-Germain peut déjà compter sur un nouvel entraîneur, en la personne de l’Espagnol Raul Gonzalez Gutierrez, qui prend la place de Noka Serdarusic. Le club parisien a recruté cet été le pivot danois Henrik Toft Hansen ainsi que l’arrière suédois Kim Ekdahl Du Rietz. Et le club parisien pourra également compter sur ses valeurs sûres telles que Thierry Omeyer, Luc Abalo et bien sûr les deux frères Nikola et Luka Karabatic. Même avec le départ de Daniel Narcisse, le club parisien semble avoir un effectif largement capable de rééditer sa performance de l’an dernier. Cette saison sera peut-être la dernière pour Thierry Omeyer, 41 ans, qui a signé une prolongation de contrat d’un an.
Ivry, une nouvelle ère
À Ivry, c’est également un changement d’entraîneur qui s’est opéré. Comme prévu depuis le mois de décembre 2017, Rastko Stefanovic a quitté son poste d’entraîneur et a été remplacé par Sébastien Quintallet, en provenance de Pontault-Combault.
Tremblay doit passer un cap
Du côté de Tremblay, onzième à la fin du dernier exercice, Benjamin Braux s’apprête à passer une deuxième saison sur le banc. Avec un effectif quelque peu bouleversé à celui de l’an dernier, l’objectif pour les Tremblaisiens sera de se maintenir une seconde fois consécutive voire de faire encore mieux que la onzième place acquise il y a trois mois.
Pontault-Combault n’a qu’une seule obsession : le maintien
Se maintenir après avoir été promu en Starligue, Tremblay l’a fait la saison dernière. L’exemple sera-t’il imité par Pontault-Combault ? Deuxième de Division 2, le club seine-et-marnais a changé d’entraîneur à l’intersaison, Sébastien Quintallet étant parti pour Ivry. Avec désormais Chérif Hamani sur le banc, Pontault-Combault conserve globalement le même effectif que l’an dernier pour aborder au mieux le retour en Starligue, dix ans après avoir quitté le premier échelon.