Malgré un départ canon, Créteil a laissé Caen dicter sa loi (1-2). Les Cristoliens avaient attaqué la rencontre par le bon bout en ouvrant le score par Essombé (4e). Cette entrée en matière idéale était entachée d’une grossière erreur de l’arrière-garde cristolienne symbolisée par le but contre son camp de Seck (15e, c.s.c). Le Stade Malherbe de Caen mettait une seconde fois à mal la défense francilienne, où Kodjia trouvait l’ouverture (38e), préservant jusqu’au bout son avantage.