Dernier du groupe D, Coulommiers est en mauvaise posture. Après pris la succession de Jean-Pierre Pérez sur le banc seine-et-marnais, René Jossé table sur au minimum 6 succès en cette seconde partie de saison pour s’en sortir.
Le club de Coulommiers joue par cycle depuis le début de saison. Six revers lors des six premières rencontre ont fait plomber les espoirs de l’entraîneur Pérez d’un « maintien aisée ». La reprise de René Jossé a permis à Coulommiers d’enchaîner deux succès, mais l’euphorie es t très vite retombée, puisque le club francilien reste sur six revers de rang. Si l’équipe monte en puissance dans le jeu, ses absences à répétition sur chaque match rendent les espoirs de victoire rédhibitoires : « Le jeu est nettement meilleur, mais il y a deux véritables problèmes. Le premier on manque clairement de constance et le 2ème, on pas de leader en attaque capable de maintenir l’équipe à flot ou de mettre les paniers chauds en fin de match » résume René Jossé.
Jossé : « Prendre Pérez comme coach semblait une garantie »
Ce dernier qui espérait que la venue d’un technicien comme Jean-Pierre Perez avec un CV long comme le bras permette à l’équipe relativement jeune de trouver cohésion et équilibre a très vite déchanté : « Le coach (NDLR : Pérez) pensait qu’on pouvait maintenir l’équipe paisiblement. Le prendre semblait une garanti, on a fait d’énormes sacrifices, mais les joueurs après avoir adhéré ne comprenaient pas ce qui était demandé. il était dans un fonctionnement du monde pro » ajoutait Jossé qui a pris la relève depuis, mais avoue sa déception, au regard de la tournure des évènements. Au sujet du maintien, la donne semble claire : « Il est compliqué mais pas utopique, on est obligé de gagner six matchs pour avoir une chance ». Soit une match sur deux. Cette mission commando commence dès samedi avec le déplacement périlleux chez le 4ème Calais.
Classement :