Après avoir fait saliver tout l’Europe d’un authentique exploit la semaine dernière contre le CSKA Moscou (59-62), Nanterre et son entraîneur Pascal Donnadieu s’attendent à une ambiance électrique face au Partizan Belgrade.
Après le CSKA Moscou, voici le Partizan Belgrade, un autre gros poids lourd de la poule ?
On joue un adversaire habitué aux joutes de l’Euroligue qui évolue dans l’une des salles les plus chaudes d’Europe. On connaît l’ampleur de la tâche, mais pour nous, il s’agit d’un nouveau challenge. L’objectif est d’engranger de la confiance et de voir comment les joueurs s’adaptent à une ambiance comme celle de Belgrade.
Votre dynamique incite à beaucoup d’optimisme ?
Même si nous sommes pas passé loin contre Moscou, on sait que ce n’était qu’un match et qu’il ne faut pas se croire déjà arrivé, on découvre cette compétition. Même si notre effectif n’est pas aussi pléthorique que notre adversaire, on se doit d’être à fond.
Vous jouez aujourd’hui à Belgrade puis dimanche à Villeurbanne, le calendrier commence à s’animer sérieusement ?
Pour le moment, nous sommes qu’au début de l’aventure, donc les organismes ne sont pas encore vraiment fatigués. On essaie un maximum de favoriser la récupération, mais je suis curieux d’en savoir plus sur notre manière de digérer ces deux rendez-vous en si peu de temps.
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