Séduisant vainqueur de Lyon (3-0) lors de la demi-finale aller des play-offs, le Plessis-Robinson a retrouvé ses vertus au meilleur moment.
En remportant la première manche contre l’ASUL, la pression a changé de camp à l’amorce de la revanche qui aura lieu vendredi : « Tout le monde a répondu présent. C’est encourageant pour la suite, mais nous sommes même pas à la moitié du chemin » souligne l’entraîneur du club des Hauts-de-Seine Jonathan Santer. Contrastant avec sa fin de saison régulière sans éclat, ce premier match des play-offs a été une domination à part entière des Franciliens : « Les Lyonnais ne s’attendaient peut-être pas qu’on est ce niveau-là, tant nos derniers matchs étaient en demi-teinte. Ils sont repartis avec beaucoup d’interrogations » poursuit Santer, qui contrairement à ce qu’avait annoncé « Le Parisien » vendredi dernier rejoint la ville de Narbonne « mais sans y entraîner le club ». A une victoire d’une qualification pour la finale des play-offs, le PRVB est en position de force, à l’image de Martigues dans l’autre demi-finale : « On sait que ce sera difficile, mais on peut le faire ».