Actuellement, Franconville fait le dos rond avant des jours meilleurs. Avec désormais à sa tête Yves Tekpli (32 ans), qui a pris le relais de Christian Dessert et sera à la manœuvre dès samedi face à La Glacerie.
Comment expliquez ce changement d’entraîneur après quatre journées ?
Ce n’est pas les résultats qui ont engendré ce changement, mais davantage une rupture entre les joueuses et le coach. Après trois saisons à entraîner la NF3, on me donne la chance d’évoluer à ce niveau, je suis curieux de le découvrir. Même si j’aurai aimé être à temps-plein, car à côté je bosse au CTR d’Ile-de-France.
Pourquoi à Franconville, c’est désormais l’instabilité qui semble primer ?
Pour en avoir parlé avec l’ancien coach (Miroslav Dobrican), je pense qu’il y a des filles qui sont pas forcément faciles à coacher. C’est un groupe difficile à entraîner, car certaines se doivent par exemple d’être ménagées. Mais il y a quelque chose de très intéressant à faire.
L’ambition est toujours à moyen terme de monter en LF2 ?
A l’heure actuelle, c’est un peu du bricolage, mais j’espère que ça va évoluer dans le bon sens les prochaines semaines. L’objectif est de se maintenir et de prétendre l’année prochaine à une éventuelle montée. Mais, je reste persuadé qu’en alliant nos forces avec l’autre club de la région (Ndlr : Sannois St-Gratien qui est à 5 kilomètres), on pourrait avoir un beau projet commun vers la LF2.