Réuni le 15 mars à la suite de l’appel du Paris Volley, le conseil supérieur de la DNACG a confirmé les sanctions prononcées en première instance : encadrement de la masse salariale corrigée à 396 000 euros, exclusion des play-offs (débuts le 30 mars) pour «rupture d’équité et communication d’informations inexactes à la DNACG» ainsi que la rétrogradation en Ligue B à titre conservatoire. Le club va saisir le CNOSF.